En d’autres termes… Kuala Lumpur International Airport. Il est 9h32 en ce samedi matin. Le jour se levait à peine lorsque nous avons atterri. Le problématique est la suivante : pendant que vous êtes tranquillement installé dans les bras de Morphée (il est 3h30 en métropole), nous luttons contre toute une série de coup de pompe et de livraison de sac de sable. Pas facile, les paupières sont lourdes, et cet exercice d’écriture me permet de me focaliser… Cela n’empêche en rien que les yeux se croisent de temps en temps. J’espère que cela restera compréhensible et si tel n’est pas le cas, merci pour votre indulgence.
L’architecture des terminaux de l’aéroport est fort sympathique : Un mélange très moderne de tubes métalliques, bois, verrières, et un bout de jungle… Si si je vous assure. Coté enseignes, rien ne porterait à croire que nous sommes en Malaisie : On retrouve notamment Fauchon, Harrods, Burger King et l’incontournable Starbuck Café. Après tout nous sommes dans un aéroport international et si ce ne sont leurs architectures, les annonces faites en langue autochtone et les passagers qui déambulent d’un pas plus où moins pressé, rien ne les distincte vraiment des uns des autres…
L’aéroport est composé de deux satellites. A priori, un dédié à l’international, l’autre aux vols domestiques. Un “air train” relie les deux terminaux. Derrière ce terme se cache un monorail automatique de trois wagons du genre Orlyval. D’ici une heure, il nous emmènera a la gate G2 pour notre vol vers Bali et le vrai départ de nos vacances.